On sort de cette gentille comédie avec une grosse faim. Vivement la saison des truffes ! Pourvu que le fournisseur exclusif de "Dire le Vin" fasse une récolte conséquente.
Et puis tous ces plats que prépare Catherine Frot, mettent l'eau à la bouche !
Le film manque cependant d'un peu de vin. Il y a bien sûr ce repas charentais et les quatre "Loire" : le Vouvray de Huet (lequel ?), le Silex de Dagueneau (il n'en saura rien, hélas), la coulée de Serrant vieilles vignes (Ca existe ça, Monsieur Joly ?) et le clos Rougeard des frères Foucault (pour terminer ?).
Bon, on se rattrape avec un château Rayas 1969 en tête à tête avec le Président, mais tout cela manque de précision. Jean-Marc Roulot, trop concentré sur son rôle, n'a sans doute pas eu le temps de conseiller les scénaristes.