« Le Rouge et Le Blanc », revue indispensable à qui s’intéresse au vin, publie dans sa dernière livraison un article consacré aux vins icaunais, hors Chablis.
Le titre de l’article : « Grand Auxerrois : la Bourgogne du futur ? ».
Parmi les vignerons mis en exergue, Gabin et Félix Richoux, les deux fils de Thierry qui dans le sillage de leur père (toujours actif au domaine) démontrent que le pinot noir à Irancy n’a rien à envier à pas mal de rouges de la Côte d’Or. Les vins de ce domaine figurent à notre catalogue, depuis la création de « Dire le Vin ». Nous sommes allés chercher le nouveau millésime en vente, mercredi, à savoir le 2017.
Autre domaine mis en avant par la revue et avec lequel nous travaillons aussi depuis nos premiers jours, celui de la famille Goisot, Jean-Hugues le père et Guilhem le fils. Figurent en ce moment à notre catalogue, le Bourgogne Aligoté 2018, le Saint-Bris (exogyra virgula) 2018, le Côtes d’Auxerre blanc Gondonne 2017, le Chablis Faucertaine 2017, le Côtes d’Auxerre rouge Corps de Garde 2017 et le Côtes d’Auxerre rouge « La Ronce » 2015.
De quoi boire bon à des prix raisonnables !
Parmi les autres vignerons cités, nous avons envie de souligner la présence de domaines qui même s’ils ne figurent pas à notre catalogue, ont soit été goûtés et appréciés dans nos soirées, soit dégustés par ailleurs : David Renaud et Christophe Ferrari à Irancy, La Croix-Montjoie et Les Faverelles à Vézelay.
Avec ces domaines, le Grand Auxerrois c’est la Bourgogne d’aujourd’hui, celle avec laquelle on peut se régaler souvent (avec modération bien sûr, …financière surtout). Profitons-en, car si l’on en croit la revue, des investisseurs sont à l’affût.
PS : On peut lire dans la RVF, l’incroyable brève suivante : « L’Inao réfléchit à intégrer une partie du Beaujolais dans l’appellation Bourgogne. En contrepartie, certains suggèrent d’écarter le vignoble de l’Yonne de la Bourgogne dont Chablis et le Tonnerrois. » Et en conclusion « Beaucoup de maisons influentes de Beaune ont massivement investi ces dernières années en Beaujolais ». Fake news, poisson d’avril avant l’heure, ou confirmation de la grave pollution de l’air du temps ?